mercredi 25 novembre 2015

Le Réseau "Vivre la Ville!" reçu par la Direction Centrale de la Sécurité Publique

Quatre membres du Réseau "Vivre la Ville!" représentant des associations de Nantes, Paris et
Strasbourg ont rencontré le 19 novembre le Directeur Central de la Sécurité Publique au ministère de
l'Intérieur.
Ce rendez-vous, pris de longue date, a été maintenu malgré les attaques tragiques que le pays a subies.
Nous en remercions nos interlocuteurs.

Les enseignements principaux de cette réunion :
Nous avons été invités à nous tourner :

- vers nos interlocuteurs locaux et particulièrement les mairies, par le biais de pétitions notamment, car elles ont sur l'ensemble du territoire des pouvoirs de police. De plus elles sont préoccupées de satisfaire leurs électeurs. Les maires ne sont pas soumis à une autorité nationale et leur action ne peut finalement être contrainte que par le biais d'actions en justice mettant en cause leur responsabilité.

- vers nos commissariats, car la police nationale a aussi des pouvoirs pour constater les mêmes infractions.

Nous avons exposé la démonstration de la gravité des enjeux et insisté sur le fait que tous les obstacles opposés à nos appels à la police (découragement, crainte des représailles, indisponibilité ou accueil dissuasif des standards à nos plaintes), faisaient que les statistiques ne reflètent qu'une image très pâle de la réalité des nuisances nocturnes.

Si nous en sommes venus à solliciter le Ministère de l'Intérieur, c'est que, localement, nous nous heurtons à des murs et au mieux sommes manipulés par des pseudo processus de concertations et médiation, et que nous pensons qu'un cadrage des pratiques locales s’impose. Nous avons insisté sur le problème posé par le fait qu'il n'y ait pas de ministère qui puisse exercer une autorité sur les maires, bien que les préfectures aient le pouvoir de se substituer à un maire défaillant pour assurer sa mission.

Ce point reste à vérifier car la situation est variable selon les parties du territoire national (Droit local Alsace-Moselle), dès lors qu’il s'agit de protéger non pas l'ordre public stricto sensu, mais la tranquillité publique. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y ait pas de lien entre les deux, car le trouble à la
tranquillité qui se banalise rend propice des faits d’atteinte à l’ordre public tels que des agressions contre les personnes, les détériorations de biens, les trafics de stupéfiants…

Nous avons parlé des arrêtés anti-alcool en mentionnant la situation particulière des lieux où il n'y a pas d'établissements et où des nuisances existent par le fait de groupes de personnes consommant de l'alcool en lieu ouvert. Nous avons argumenté que l'ampleur du problème en faisait une véritable
nouvelle mission pour laquelle les forces de police doivent mobiliser des moyens.


Nous avons avancé deux propositions :

- l'instauration d'un permis à points, sur le modèle de Genève, qui permettrait une riposte graduée face aux manquements à la loi ou à la réglementation, allant de diverses contraintes d'activité (fermeture moins tardive, suppression provisoire de terrasse) jusqu'à la fermeture administrative, seul gage d'efficacité étant donné les effets très aléatoires et limités des actions en justice que nous avons pu ici ou là mener.

- la création d'un "guichet unique" qui permettrait de rassembler les infractions relatives à un même établissement et de guider la victime dans ces démarches et dans ses possibilités de recours.

Nos propositions ont bien été notées et considérées comme intéressantes.

La réunion s'est terminée, de la part de notre interlocuteur par une remarque insistant sur le fait que le phénomène de l'alcoolisation fait l'objet de préoccupations au ministère et que des actions se mettent en place dans certaines villes. Le Réseau "Vivre la Ville !" est sorti de la réunion renforcé dans
son intention de persévérer dans son action de représentation de la société civile;

Notre interlocuteur nous a cité un exemple encourageant : celui des apéritifs Facebook dont la pratique a pu être enrayée grâce au travail de fond du ministère de l'Intérieur auquel des associations telles que les nôtres ont contribué.

vendredi 2 octobre 2015

Les dangers du tourisme festif

Notre bonne mairie de Nantes et ses élues, ne nous cesse de nous vanter les mérites du tourisme festif.

Nous vous mettons en ligne un article de Ouest France qui en montre les limites. Voulons nous vraiment cela pour Nantes ?


Vos nuits sont à vendre !!

L'association des rues de Graslin fait parti du réseau "vivre la ville".

Nos amis Parisiens ont rédigé deux articles sur la volonté du ministère des affaires étrangères de valoriser les nuits Parisiennes.

Mais ne nous trompons pas. Ce qui se trame à Paris, peut très bien venir sur Nantes.

Liens des articles : A Vendre, nuits Parisiennes et 22 mesures pour faire de la vie nocturne un enfer


mercredi 23 septembre 2015

Les chiffres chocs du coût social de l’alcool et du tabac

Le tabac coûte chaque année 120 milliards d’euros à la société française, l’alcool 120 milliards d’euros également, les drogues illicites 8,7 milliards d’euros. Ces montants prennent en compte le coût des vies perdues, des pertes de production ou de la qualité de vie mais aussi le montant des dépenses publiques de soins, de prévention et de répression… 
A l’inverse, ces chiffres prennent aussi en compte les recettes des taxes et les économies que représentent les retraites non versées.

Pour en savoir plus, vous pouvez lire les articles du monde (article 1 et article 2) ou bien l'étude d'où sont tirés les chiffres des 120 milliards.

vendredi 26 juin 2015

Le Forum Européen pour la Sécurité Urbaine (Efus) et les riverains

Le Forum Européen pour la Sécurité Urbaine (Efus) se présente ainsi :
– un réseau européen de 250 collectivités locales de 16 pays créé en 1987 à Barcelone dont l’objectif de renforcer les politiques de prévention de la criminalité et de promouvoir le rôle de l’élu dans les politiques nationales et européennes.
– il travaille sur l’ensemble des thématiques liées à la sécurité urbaine.
– il met en avant le respect des Droits de l’Homme et la mise en œuvre de politiques de sécurité qui ne doivent pas aboutir à l’exclusion et la répression des groupes de population les plus vulnérables.
– les membres : collectivités locales, régionales et nationales, ONGs impliquées dans la prévention de la criminalité et universités.

Cet organisme est une ONG financée par de l’argent public provenant de fonds européens. Rien n’apparaît à ce sujet sur leur site.

L’Efus a publié sur son site un article intitulé Le groupe de travail “La ville, la nuit” visite le dispositif “vie nocturne” de la ville de Paris. Notre analyse de ce document.


§1 : « le groupe de travail de l’Efus « La ville, la nuit »… a rencontré des acteurs institutionnels et associatifs » mais il n’a pas rencontré les associations de riverains, ce qui est un comble surtout pour une ONG qui met en avant le respect des Droits de l’Homme et la mise en œuvre de politiques de sécurité qui ne doivent pas aboutir à l’exclusion et la répression des groupes de population les plus vulnérables. Les riverains victimes des nuisances sonores nocturnes ne font-elles pas partie des populations vulnérables? Le droit au sommeil n’est-il pas un droit et un besoin fondamental pour l’être humain?

§2 : « La délégation de l’Efus a rencontré… les acteurs de la vie nocturne à Paris, dans le cadre de leur réflexion pour la mise en place et l’accompagnement d’un plan d’action global sur les enjeux liés à la nuit. » De quels enjeux s’agit-il? Ceux de la Santé Publique et de l’intérêt général ? Nous en doutons fortement.

§6 : « La délégation a ensuite rencontré les responsables de la politique de la nuit à la mairie de Paris… Il existe désormais à la mairie de Paris un Conseil de la Nuit qui coordonne toutes les mesures de prévention, médiation et réduction des risques telles que Fêtez Clairs, les chill out urbains, mais aussi Les Pierrots de la Nuit qui sensibilisent les clients des restaurants et boîtes aux nuisances sonores dans la rue. » Une fois encore, aucune mention des associations de riverains et de leurs préconisations au sein du Conseil de la Nuit.

§7 : sous le titre « Dialoguer avec les riverains » nous trouvons cette phrase : « La police a notamment insisté sur l’importance du dialogue entre riverains. » mais pour l’Efus ceci n’est qu’un titre puisqu’à aucun moment nous avons été conctactés par l’Efus. L’Efus prône le dialogue mais fait tout pour qu’il ne s’installe pas.

§10 : « Tous les participants ont noté l’importance d’une vie nocturne de qualité et le rôle essentiel des établissements en tant que régulateurs dans un quartier. » Selon l’Efus les bars sont présentés comme la solution aux problèmes de la vie nocturne alors qu’ils sont la source de nombreuses nuisances nocturnes. Si les riverains avaient été représentés il n’y aurait pas eu cette belle unanimité.

Comment un tel organisme, vivant de fonds publics, peut-il prétendre parler de sécurité urbaine sans même consulter les habitants des villes concernés?

dimanche 21 juin 2015

Nouveaux liens

Vous trouverez dans notre liste de liens, deux nouveaux :
Le réseau Vivre à Paris qui regroupe des riverains Parisien ainsi que le réseau Vivre la Ville.
Vivre la ville à une dimension Européenne, dont notre association fait partie.
Nous vous proposons d'aller sur ces sites, qui vous donnera une vision plus large des nuisances, dont Nantes, n'est hélas, pas un cas isolé.
Egalement, vous trouverez des articles sur des actions menées et des études Françaises et Européennes.

lundi 8 juin 2015

Le péril jeune


Nous vous proposons de visionner le documentaire qui est passé récemment sur une chaîne du service publique, sur l'hyper alcoolisation des jeunes.
Il y a un long passage (à partir de la 28ème minute) sur Nantes, assez édifiant.

La vidéo à télécharger ici

4ème Fête des voisins

Le 19 mai, a eu lieu la fête des voisins organisé par l'association pour la quatrième fois consécutive.
Malgré le temps peu clément, la fête fut un succès avec un nombre de participants toujours fidèle.

Nous avons pu déguster les tartes sucrées et salées, les salades sous différentes formes et fromages, ainsi que des spécialités des participants.

Mme Choquet, notre élue de quartier est passée nous saluer ainsi que la présence de l'équipe du centre ville. Cela a permis une franche et amicale rencontre durant lequel nous avons pu parler des problèmes, mais aussi des joies du centre ville.

Nous remercions les participants et nous vous donnons rendez vous pour l'année prochaine. Sur la place Graslin ???

Rue89 parle de Nantes

Grace au réseau "vivre la ville", Rue 89 à Strasbourg s'est penchée sur la vie nocturne dans différentes villes de province, dont Nantes.
Détail ici

Oui, c'est possible. Ailleurs ...

A Cannes et à Paris, des brigades de police traquent les incivilités dans les rues.
Peut être une bonne idée à copier?
Détail ici

Un coup dur pour la prévention sur la consommation de l'alcool

La loi Macron réserve bien des surprises. Notamment, la fin du message de prévention sur les méfaits de l'alcool.
Le détail ici

Entrevue avec Mme Rivasi, suite

Suite à la rencontre du réseau "vivre la ville" avec la députée européenne, Mme Rivasi, une proposition de résolution a été déposée.
Elle intègre, nombres de propositions faites par le réseau.
Vous le trouverez ici

L'association rencontre Mme Rivasi, députée Européenne

Le 4 février, le Réseau « Vivre la Ville ! » a adressé à Mme Michèle Rivasi, députée européenne (groupe des Verts) et membre de la commission ENVI (Environnement, santé publique et sécurité alimentaire) un courrier sur la question des nuisances sonores nocturnes dont sont victimes les habitants des centres-villes. (lire la lettre)
2015-04-29_parlement_europeenLe 29 avril une délégation du Réseau « Vivre la Ville ! » a rencontré Mme Rivasi au Parlement Européen à Strasbourg :
– Olivier Chalvignac, ARREN (Strasbourg)
– Daniel Ehret, CABA Alsace
– Gilles Pourbaix, Réseau « Vivre Paris! »
– Nicole Nussbaum, Calme Gutenberg (Strasbourg)
– Lars Johansson, les Rues de Graslin (Nantes)

Les points que nous avons présentés :
  • une demande d’une objectivation des nuisances sonores par des mesures par des sondes
  • nous sommes pour la fête mais dans des endroits dédiés et adaptés et à l’intérieur
  • la concertation dans les grandes villes est un leurre surtout lorsque la politique de la ville est le développement effréné de la vie nocturne
  • la promotion de la vie nocturne est devenue une politique gouvernementale depuis l’inclusion du tourisme dans les attributions du ministre des affaires étrangères mais elle ne doit pas se faire au détriment des habitants des villes
  • le problème « premier »: le droit n’est pas appliqué
  • il s’agit de la destruction d’un écosystème humain
    • les centres des villes sont de plus en plus livrés à la mono-activité des bars avec disparition des commerces de proximité
    • renchérissement des baux locaux et baisse des loyers et du foncier d’habitation
    • centres des villes livrés à la location saisonnière ou de courte durée
    • moins de mixité (générationnelle ou sociale)
    • question d’aménagement du territoire tant dans l’espace que dans le temps (jour-nuit)
    • muséification des villes qui deviennent des décors de théâtre vidées de leurs habitants
    • compétition entre les villes qui induit une logique marchande où le client devient roi et a tous les droits
    • lobby des alcooliers
Les pistes évoquées par Michèle Rivasi :
  • les boites de nuit à l’extérieur de la ville avec mis en place de transports (comme à Clermont-Ferrand)
  • l’application du droit (bruit, ivresse publique, drogue…)
  • une concertation avec les riverains avant toute implantation d’un établissement susceptible de générer des nuisances (étude d’impact)
  • la nécessité d’une politique de consensus
  • l’insonorisation des lieux musicaux : pas d’insonorisation = pas d’autorisation de diffuser de la musique
  • une incitation à l’insonorisation des lieux musicaux sous la forme d’une participation des villes (1/3 pour la ville, 2/3 pour l’établissement) (proposition avec laquelle nous sommes en désaccord car la porte ouverte à tous les excès)
  • après 22h les portes sont fermées et la musique est à l’intérieur ou s’arrête
Nous nous sommes aussi adressés à la membre de la commission ENVI (Environnement, santé publique et sécurité alimentaire) pour évoquer la double question de santé publique :
  • privation de sommeil pour les habitants qui sont doublement victimes : du bruit et des autorités lorsqu’ils essaient de se plaindre (plaintes pas prises en compte, police ne se déplaçant pas, insultes des patrons de bars et de leurs clients…)
  • hyper alcoolisation des jeunes (voire moins jeunes) avec ses conséquences : comas éthyliques, violence aux personnes, décès par noyade, viols de femmes comme d’hommes, coût pour la collectivité (police, nettoyage, SAMU, hôpitaux…)
… mais aussi à l’écologiste :
  • nous souhaitons un modèle de ville durable, avec un aménagement du territoire, à la fois dans le temps et dans l’espace, pensé de façon globale
  • les Villes veulent développer la vie nocturne, ce qui est concevable, mais on ne peut pas continuer à multiplier et concentrer les bars et établissements de nuits dans des lieux qui sont habités et deviennent alors inhabitables.
  • il faut prendre en compte les principes de prévention des risques, le premier étant d’éloigner la source de nuisances des populations concernées (plutôt que de proposer aux victimes de se « bunkeriser », de dormir avec des bouchons d’oreilles ou bien de déménager, ce qui correspondrait aux niveaux 2 et 3 de la prévention des risques : protéger la population menacée avec des équipements, et évacuer la population menacée quand les possibilités 1 et 2 ne sont pas possibles).
Les propositions de Michèle Rivasi qui attire notre attention sur la proposition de résolution du Parlement européen sur la stratégie en matière d’alcool :
  • demande auprès du président de la commission ENVI de faire une audition sur la problématique des nuisances sonores en Europe avec convocation d’experts, d’associations… Cette audition peut déboucher sur une résolution (texte discuté par tous les groupes politiques au Parlement Européen). Le Parlement fait alors des recommandations qui peuvent ensuite déboucher sur un acte législatif (une directive).
  • question écrite à la commission ENVI : réponse sous 6 semaines.

mercredi 18 février 2015

Les rues de Graslin font partie du réseau national "Vivre la Ville"



Notre réseau national commun « Vivre la Ville ! » s’est publiquement manifesté mardi dernier10 février 2015 lors de la réunion publique organisée par le réseau « Vivre Paris ! ».

Ce fut un moment mémorable.



Pour la première fois en France des membres émanant d’associations de victimes des nuisances nocturnes, associations françaises et étrangères, unissaient leurs forces pour témoigner de leur vécu, pour demander à ce que leurs villes restent des lieux habitables et ne soient pas, au nom de l’attractivité nocturne, transformées en marchandises, voire vendues comme des « marques », au mépris des habitants et de leur santé.



Lisbonne et Barcelone, Nantes, Montpellier, Strasbourg et Lyon étaient physiquement présentes et sont intervenues à la tribune.

Au-delà du réseau national, c’est déjà un réseau européen qui s’est dessiné là, avec la participation de Barcelone et Lisbonne mais aussi grâce aux communiqués transmis par Londres et Genève avec lesquelles des relations d’échange sont d’ores et déjà établies.



Voici ce qu’écrivent nos hôtes du réseau « Vivre Paris ! » :

« Les intervenants, dans leur ensemble, ont mis des mots sur ce qui est occulté avec une qualité argumentaire que personne ne peut contester.

Ceux qui étaient là ont pu en juger. … Cette force argumentative et le fait qu'il y ait tant de monde présent ont manifestement touché les médias. »



Les médias ont en effet accordé une large couverture à la manifestation.

Chose rarissime, des articles sont parus après la réunion, alors qu’il y avait déjà eu une large couverture médiatique en amont de la réunion.



Voici le lien qui vous permet d’accéder à ces publications dans la presse : http://www.vivre-la-ville.fr/?p=46

Parmi ces articles, je vous recommande tout particulièrement la lecture de celui du Parisien (11 février 2015) intitulé : « Les élus se couchent devant le lobby de la nuit ».



Il y a également eu un direct sur France 3 Paris Ile-de-France, ce qui montre l'importance de cette réunion aux yeux de la presse, puisque le direct est toujours réservé à de gros évènements.

Pour accéder à ce court reportage, à partir du lien :

http://www.vivre-la-ville.fr/?p=46

cliquer sur : France3 a fait un reportage en direct de notre réunion et aller ensuite à 19’30.



Derrière Gilles Pourbaix, représentant du réseau « Vivre Paris ! » qui est interrogé, vous verrez, de gauche à droite, Luis Paisana et Daniel Pardo, les représentants de Lisbonne et de Barcelone, auprès d’Anne Penneau, professeure de Droit à l’Université de Paris et présidente de l’Association des Riverains de la Butte aux Cailles , puis Lars Johansson, le président de l’association nantaise « Les Rues de Graslin » et la présidente de Calme Gutenberg à Strasbourg.



En échangeant les uns avec les autres, nous avons tous mesuré combien il importe de ne pas rester seuls face à un problème que nous ne pouvons pas résoudre à l’échelle locale de nos associations.



Les interventions et les documents présentés lors de la réunion sont actuellement consultables sur le site de notre réseau « Vivre la Ville ! »

http://www.vivre-la-ville.fr/



Réfléchissons à la suite à donner à cet événement.

On parle d’une réunion de travail avant l'été.

Merci de nous communiquer vos idées, vos propositions et vos réflexions.



La naissance du réseau national « Vivre la Ville ! » nous offre de belles perspectives.

Concrétisons-les !